• Chapitre 3

    Chapitre 3
    Petit Mot Des Traductrices
    Ce roman est un roman érotique, donc avec beaucoup de scènes sexuelles. Donc si vous n'aimez pas ce genre d'ouvrage, ne poursuivez pas la lecture.
    Sinon Enjoy

    [NT : le surnom de Duan Yijun à été raccourci à TXXX]

     

    Cela faisait déjà cinq jours que Duan Yijun n'avait pas réussi à rassembler ses esprits pour ouvrir son ordinateur. Si ce n'était pas par habitude qu’il se connectait au jeu, il n'aurait probablement pas pris l'initiative de l’ouvrir.

    Ce qu'il n'avait pas prévu c’est que beaucoup de notifications apparaîtraient dès qu'il se connecterait au jeu.

    [Moyi] : Xian-er, je suis désolé. J'ai été occupé ces derniers jours et je ne pouvais pas utiliser l'ordinateur alors je ne me suis pas connecté. Ton examen mensuel devrait bientôt arriver, non?

    Duan Yijun ne s'attendait pas à ce qu'il se montre vraiment. Et il répondit finalement aux messages de Duan YiJun! Il ne put s'empêcher d’être instantanément excité.

    [TXXX] : Ge !

    [Moyi] : Xian-er, viens. Laisse Gege te faire un câlin.

    Le visage de Duan Yijun vira immédiatement au rouge. La main avec laquelle il tapait tremblait un peu.

    [TXXX] : Ge, qu’est-il arrivé à ton entreprise ? Pourquoi es-tu soudain si occupé ?

    [Moyi] : Oh, nous nous occupons juste de nouveaux projets, ne t’inquiète pas.

    [TXXX] : Alors as-tu fini de t’en occuper ?

    [Moyi] : Pas encore. Oh c’est vrai, si je suis venu ici c’est pour te prévenir que je pars demain pour un voyage d'affaires.

    [TXXX] : Ah, tu dois aller à un voyage d’affaires ? Alors, tu ne pourras pas te connecter au jeu ?

    Quand il lut cette phrase, Duan Yijun commença à se sentir déprimé de nouveau comme s'il était tombé du ciel, tout en bas de la vallée. En pensant qu’il ne le reverrait pas pendant plusieurs jours, son cœur ne put s’empêcher de s’aigrir… Il ne pouvait vraiment plus s’en empêcher… Quel idiot.

    [Moyi] : Sûrement pas, je dois partir deux semaines.

    [TXXX] : Si longtemps…

    Duan Yijun se sentit comme un ballon dégonflé et il n’était même plus d’humeur à taper sur le clavier . Bien qu’il voulait vraiment lui demander s'il y avait un autre moyen de le contacter pendant qu’il ne serait pas connecté au jeu, cela semblerait étrange qu’il le fasse.

    Ils étaient deux hommes adultes… c’était juste une courte période où ils ne se parleraient pas et il faisait comme si c’était une affaire sérieuse. En plus de tout ça, il ne savait pas si en étant trop direct il lui ferait comprendre quelque chose

    [Moyi] : Tu ne veux pas me demander où je vais pour mon voyage d'affaires ?

    [TXXX] : Alors, où vas-tu ?

    A ce moment-là, il répondit vraiment de façon mécanique, son esprit était occupé par ce que l’homme lui avait dit. Il lui avait tellement manqué pendant ces cinq jours où il ne l’avait pas vu. Il était difficile d’imaginer comment il allait occuper ses journées s’ils étaient séparés pendant deux semaines….

    [Moyi] : La ville F.

    Hein ? Duan Yijun ouvrit instantanément ses yeux en grand et fixa l’écran, il n’eut plus de réaction pendant quelque secondes.

    La ville F ?? N’était-ce pas la ville dans laquelle Duan Yijun vivait maintenant ??

    [TXXX] : Tu viens dans la ville F pour ton voyage d'affaires ?

    [Moyi] : Hm.

    [TXXX] : Je… Je…

    [Moyi] : Je sais que tu y habites.

    Il savait… alors cela voulait dire…

    Le cerveau de Duan Yijun était toujours en mode ‘erreur’, pendant que l’autre personne continuait de parler.

    [Moyi] : J’y vais demain, mon hôtel est le Weixi International. Je ne sais pas si c’est loin de chez toi ou non.

    Duan Yijun était vraiment proche de tomber au sol. Moyi arrivait demain ?! Et cet hôtel… était à moins de 500 mètres de chez lui ! Cela voulait dire que… Il pourrait le voir bientôt ?

    Cette pensée le surprit tellement qu’il se cogna le menton contre son écran.

    [TXXX] : Je… Je… Cet endroit n’est pas loin de chez moi.

    [Moyi] : Vraiment ? C’est bien.

    Il ignorait pourquoi une image intempestive de cet homme souriant était apparue dans l'esprit de Duan Yijun.

    [Moyi] : Quel est ton numéro de téléphone? Donne-le moi pour que je puisse te contacter plus tard.

    Duan Yijun sentit soudain son cœur s'agiter, comme un faon qui courrait dans tous les sens. Il écrivit son numéro de téléphone et vérifia plusieurs fois qu’il ne l’avait pas mal écrit avant d'appuyer sur la touche envoyer. Moins d’une minute après, son téléphone sonna soudainement.

    Cela effraya Duan Yijun jusqu'à lui faire perdre les nerfs. Quand il jeta un coup d'œil à l'écran, il vit que c'était un numéro inconnu... Cela devait être le Grand Dieu Moyi... 

    Ses mains se mirent soudainement à trembler.

    Il savait que l’autre personne testait seulement le numéro pour voir si c’était le bon et que ce n’était pas pour qu’il décroche. Alors Duan Yijun n’avait aucune intention de répondre. Mais la personne au bout du fil ne raccrochait pas.

    [Moyi] : Réponds !

    Après avoir vu ce mot, Duan Yijun s’agita de nouveau. Il n’avait aucune résistance devant la gentillesse, avec une pointe d’autorité, du Grand Dieu. Alors il agit comme une gentille femme et appuya immédiatement sur le bouton décrocher.

    — Allo…

    C’était la première fois que Duan Yijun était si nerveux, même être dans une salle d’examen ne le perturbait pas autant. Si il ne faisait pas autant d’efforts pour se calmer et retenir le ton de sa voix pour éviter de trembler, Gege allait vraiment penser qu’il était stupide.

    — C’est moi.

    C’était seulement deux mots mais ils avaient magnétiquement frappé le tympan de Duan Yijun avec leur joli son. En rougissant seulement à cause de ces deux mots, Duan Yijun osa dire qu’il ne s’était jamais senti aussi honteux en dix-huit années de vie !

    — Mo...Moyi…

    Soudain, il resta sans voix, il ne savait pas comment s’adresser à Moyi. 

    — Hm. Appelle-moi seulement Ge ba.

    — Ge…

    Au moment où il l'appela ainsi, il se fit peur à lui-même. Ses oreilles étaient tellement rouges qu'on aurait dit qu'elles allaient saigner. Quel genre d'appel doux, mignon et flatteur était-ce ?

    Je suis fini, le Grand Dieu doit penser que je ne suis pas normal...

    — Héhé, mon vol est demain à 21H, peux-tu venir ?

    — Je peux.

    — C'est super, Je t'emmènerai manger dès que je sortirai de l'avion.

    Et ce fut comme ça que quelqu'un organisa un rendez-vous avec le Grand Dieu.

    Mais l'instant d'après Duan Yijun ne put garder son calme. Quand il pensa que Moyi arrivait le lendemain et qu'il pourrait le voir tout de suite.... Son corps entier s’agita.

     



  • Commentaires

    3
    Mercredi 24 Mars 2021 à 18:15

    A 500 m de chez lui c'est vraiment pas loin....ils vont avoir leur premier rendez vous ah trop bien, je me demande comment ça se passera....

    2
    Mardi 8 Décembre 2020 à 02:06
    Ça promet tout ça.
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