• Chapitre 18

    Chapitre 18
    Petit Mot Des Traductrices
    Ce roman est un roman érotique, donc avec beaucoup de scènes sexuelles. Donc si vous n'aimez pas ce genre d'ouvrage, ne poursuivez pas la lecture.
    Sinon Enjoy

    [NT : le surnom de Duan Yijun à été raccourci à TXXX]

     

    — M'appeler ici... tu veux faire quelque chose ? 

    Cheng Yi sourit et agita soudain la main. Comme si la magie était lancée autour d'eux, les fleurs de pêcher qui les entouraient se rassemblèrent et flottèrent dans le ciel.

    Duan Yijun approcha la bouche grande ouverte, il trouva la technique très belle, mais il ne savait toujours pas ce que Cheng Yi voulait faire. À ce moment, les pétales flottants des fleurs de pêcher tombèrent, en formant le mot ‘Xian’ et ‘Mo’ ainsi qu'un cœur au milieu.

    Tous les gens au pied de la montagne s'enflammèrent. Ils n'imaginaient pas que le Grand Dieu dans leur cœur se confesserait à un petit novice médiocre, mais ce n'était pas le plus choquant.

    Lorsque Moyi prononça la phrase ‘Xian-er, épouse-moi’, la foule était en émoi. Si Moyi n'avait pas pris des dispositions pour bloquer la foule au pied de la montagne, ces gens se seraient probablement précipités là-haut.

    En même temps, il y avait des personnes qui s'amusaient en regardant le tout, il y avait celles qui étaient heureuses et excitées, il y avait aussi beaucoup de monde qui était les disciples du Grand Dieu et qui avaient maintenant leur rêve brisé et leur cœur brisé.

    Mais Cheng Yi ne se souciait pas de toutes ces choses. En laissant tout le monde venir ici aujourd'hui, il voulait juste annoncer devant chacun qu'il était le propriétaire de Duan Yijun et aussi dire à tout le monde qu'il avait déjà quelqu'un qu'il aimait dans son cœur.

    Duan Yijun était confus au point d’en être stupide. C'était bien que l'homme se soit confessé en privé, en réalité, il ne s'attendait pas à ce qu'il se confesse à nouveau dans le jeu, et lui demande aussi directement de l'épouser.

    Finalement, il comprit pourquoi Cheng Yi avait décidé de modifier le jeu, c'était totalement pour son propre intérêt égoïste ah !

    — Qu'est-ce que tu as, tu n'es pas d'accord ?

    Des fleurs de pêcher flottaient partout, entourant presque complètement les deux personnes.

    Cheng Yi s'avança et attira la personne dans son étreinte.

    Duan Yijun pouvait imaginer que l'homme devait glousser derrière son écran.

    Il ne savait pas ce qui se passait, mais son visage était rouge, alors il se leva et fit quelques tours dans sa chambre, en essayant de dissiper la chaleur sur son visage.

    Après cela, il s'assit de nouveau et tapa ‘je le veux’ avec le clavier. Il n'osa pas regarder comment les gens avaient réagi après cela, alors il se déconnecta en panique.

    Au bout d'un moment, son téléphone se mit à sonner. C'était Cheng Yi.

    Les deux hommes échangèrent des mots doux et affectueux pendant un moment, puis mirent fin à l'appel à contrecœur lorsque les téléphones commencèrent à chauffer.

    Pendant les jours suivants, les préparatifs de leur mariage se poursuivirent.

    Même si c'était dans le jeu, tout le monde était très sérieux comme si c'était eux qui se mariaient. Le jour de leur mariage, il y avait tellement de monde dans la salle qu'ils ne pouvaient plus accueillir personne.

    Duan Yijun soupçonna même que tous les joueurs du jeu étaient venus au mariage...

    Tous deux portaient une tenue rouge. Bien que Cheng Yi plaisantait sur le fait que Duan Yijun était son épouse, tous deux portaient en fait une tenue de marié.

    En voyant cette personne devant lui dans le jeu, Duan Yijun pensa inconsciemment au visage de Cheng Yi. Puis, comme s'il se tenait vraiment devant lui, Duan Yijun se sentit timide et ne sut pas quoi faire.

    À plusieurs reprises, il ne réussit plus à tenir sa souris de façon stable.

    Après la cérémonie et l'échange des bagues, ce fut naturellement le moment d'aller dans la chambre nuptiale. Tous les membres de leur guilde commencèrent à se comporter comme les membres de la famille de Duan Yijun et voulurent même envahir la chambre. (1)

    Après les avoir tourmentés pendant un certain temps, ils se dispersèrent progressivement.

    Duan Yijun regardait attentivement l'écran sans savoir quoi faire. Il ne s'attendait pas à ce que les deux personnages du jeu soient en train de le faire.

    Lorsque Moyi enleva les vêtements de TXXX, Duan Yijun ne comprenait toujours pas ce qui se passait.

    — Vraiment... on  peut le faire ?

    — Bien sûr, on est mariés.

    Duan Yijun resta sans voix pendant un moment. Tu n'avais pas besoin de concevoir le jeu de façon si réaliste !

    Alors qu'il fixait l'écran en regardant les deux personnages entrer dans une scène de R-18 et que ses yeux étaient sur le point de tomber, son téléphone sonna.

    — Allô ?

    Duan Yijun sentait encore son cœur battre la chamade. Après avoir entendu la voix de cette personne, ses oreilles devinrent plus rouges.

    — Hehe, tu peux dormir cette nuit ?

    Rougissant, Duan Yijun ne parla pas. La belle voix de l'homme était juste à côté de son oreille, ce qui lui faisait penser inconsciemment qu'il soufflait à côté de son oreille.

    Son tympan le démangeait et son corps frissonnait.

    — Ton appel... tu as besoin de quelque chose ? 

    — Oui, tu me manques.

    Duan Yijun rougit et pensa à dire quelque chose, puis il entendit l'homme ajouter. 

    — Je veux le faire.

    Son esprit fut stupéfait au point d'être grillé, Duan Yijun faillit jeter son téléphone.

    Cette personne, depuis quand était-elle devenue si perverse ? !

    — Aujourd'hui est notre grand jour après tout, déclara Cheng Yi.

    — Je... je sais...

    — Tu vois, même eux ont commencé à le faire, je ne te manque pas ?

    Duan Yijun ne voulait pas admettre que son corps était devenu mou au moment où il avait entendu sa voix. Et maintenant qu'il entendait les mots de Cheng Yi, il voulait agir un peu plus durement.

    — Bébé, tu le veux aussi, non ? Je n'ai pas oublié à quel point tu étais passionné il y a quelques jours, tu m'as serré fort et tu m'as demandé d'aller un peu plus profond, un peu plus fort. 

    — Ne... ne dis pas ça...

    En disant cela, Duan Yijun ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil à l'ordinateur et de voir leurs personnages s'entremêler.

    — Tu es dur là-dessous ? Tu veux que je t'aide ?

    — Je ne... ne veux pas...

    — Bébé, ne te retiens pas. Si tu te sens mal à cause de tes hésitations, mon coeur sera douloureux. Tu veux que ton mari t'aide à sucer, à tout aspirer...

    — Ne... ne dis plus rien, dit Duan Yijun en pleurant, le visage rougissant.

    — Tu ne veux pas ? C'est bon, je suis là. Sois obéissant, va sur le lit et enlève ton pantalon.

    Au début, Duan Yijun ne voulait pas le faire, mais lorsqu'il entendit les instructions de l'homme, il ne put s'en empêcher et se rendit docilement à son lit et il enleva son pantalon.

    — Imagine que Gege te touche là, maintenant, tiens le coup, et touche ce petit champignon avec tes doigts.

    — Ah ah... ah... Gege...

    — Est-ce confortable ?

    — Hum... si confortable...

    — Tu le veux ? Tu veux que Gege touche là ?

    — Ah ah... ça me démange beaucoup... mon mamelon... et en bas ça me démange aussi...

    — D'abord, touche toi devant.. Ta petite chose est montée très haut ah. Tiens-le et pompe de haut en bas. Tu te souviens comment ton mari t'a aidé à le faire ?

    — Ah ah... très agréable... l'eau sort... Chéri si étonnant... ah...

    — Petite dévergondée. Tu t'es déshabillé en bas ?

    — Déshabillé...  je suis déshabillé...

    — Enlève aussi ton haut. Le mari veut te sucer le mamelon maintenant.

    En entendant ce que l'homme disait, Duan Yijun sentit que ses tétons devenaient chauds et le démangeaient. Il ne réussit pas à résister, il retira sa chemise.

    — Mari, dépêche-toi de sucer mon téton... il gonfle et il me démange... Je veux... Gege... mords-moi...

    Utilisant une main pour tirer sur ses propres tétons, Duan Yijun commença à imaginer la façon dont l'homme le lui faisait.

    Cheng Yi  suçait cet endroit jusqu'à ce que ce soit douloureux et agréable avec un bruit de claquement humide.

    — Tu aimes que ton mari te suce ici ? C'est agréable ? Il devient déjà rouge et gonflé.

    — Ah ha ... j'aime ... plus fort ... suce-le ... ah ah ... incroyable ... suce Xian-er à mort ... plus fort ...

    — Tsk tsk. Bébé, quand ton mari n'était pas là, tu as joué tout seul ? Tellement lubrique.

    — Non... non... seul mon mari peut me toucher... um... ah... ah... trop fort... ...

    — Est-ce que j'ai manqué au petit trou en dessous ?

    — Manqué ... beaucoup ...

    —  C'est le mari ou le gros bâton de viande du mari qui t'ont manqué ?

    — Les deux ... ont manqué les deux ... ah ... ha ...

    — Tsk tsk, tu veux que je te donne tout ?

    —  Je veux ... nhnn ... mmhmm ... en dessous, je veux aussi ... 

    — Rampe, soulève tes fesses en l'air ! Insère-le toi-même ! N'oublie pas de mettre du lubrifiant oh, tu ne peux pas te blesser.

    La voix de Cheng Yi était devenue rauque et son ton plus lourd. Duan Yijun était fasciné par ce genre de voix,

    — Je... Je comprends.

    Très vite, il s'allongea docilement et enduisit ses doigts de lubrifiant. Imaginant la silhouette de son homme, il enfonça deux doigts en lui.

    — Ah ah ! Ah ngh... Mari... si chaud... si grand... vais mourir...

    — Tu te sens bien d'avoir été pris ? Ton petit trou est très serré, très chaud. Tu sais vraiment comment m'aspirer, ton mari va mourir d'avoir été aspiré fort.

    — Nnn ah... plus fort... ah ah... si bon... si plein...

    Duan Yijun imagina comment son homme le montait, puis il ferma les yeux et commença à pomper ses doigts qui étaient enfoncés dans son trou.

    Il gémissait fort contre l'homme au téléphone en se poussant avec ses doigts.

    — Ah ah... Mari... dépêche-toi de venir me faire... ah ah...

    — Nnn mhmm... si bon... si profond... Gege... Tu m'as tellement manqué... ah ah...

    — Mari... plus fort... baise-moi... baise-moi à mort... ah ah ah...

    Cheng Yi ne parlait pas, mais on pouvait facilement imaginer ce qu'il faisait au son de sa respiration.

    Tant qu'il entendait la voix de son homme, Duan Yijun devenait lubrique, comme s'il venait de boire un aphrodisiaque.

    — Mari... dépêche-toi de venir et de le mettre en moi... enfonce-le et baise-moi à mort... Je veux ton gros bâton de viande... aah ah ah...

    Parce qu'ils étaient séparés par un écran froid de téléphone portable, Duan Yijun cria tous ces mots obscènes que d'habitude il n'aurait pas osé dire.

    — Je te pousserai à mort !

    Cheng Yi jura à voix basse, sa voix rauque était remplie d'un goût masculin.

    Cela faillit amener Duan Yijun à son apogée.

    — Ah ah ah... Gege, plante-moi à mort... je vais mourir... je vais être transpercé par mon mari à mort... ah ah...

    — Sois bon, ensemble maintenant.

    La voix de Cheng Yi de ce côté-là semblait avoir atteint sa limite. En écoutant le son de sa respiration, Duan Yijun ne put plus le supporter et gémit bruyamment.

    Ses doigts étaient mouillés par l'eau qui coulait de son trou, Duan Yijun continuait à gémir et son esprit scintillait de lumières blanches.

    Son front frottant contre le couvre-lit, il ne put finalement plus le supporter et il expulsa tout.

    Immédiatement, sa moitié inférieure devint un désordre humide. 

    Duan Yijun faillit oublier que son téléphone était encore allumé, son corps était étendu sur le lit et il n'arrêtait pas de haleter.

    — Tu vas bien ?

    La voix douce de l'homme retentit du téléphone, et Duan Yijun tendit la main pour mettre le téléphone contre son oreille.

    — Bébé, n'as-tu pas dit à l'instant que je te manquais ? Et que tu voulais que je vienne te le faire en personne.

    Duan Yijun se souvenait encore de ce qu'il avait bafouillé pendant le tumulte, maintenant qu'il y pensait, il se sentait incroyablement obscène.

    — Hehe, pourquoi tu ne parles pas ? Je te manque ?

    — Tu me manques...

    — Bien, maintenant va à ta fenêtre et ouvre le rideau.

    Se sentant étrange, Duan Yijun alla docilement ouvrir le rideau.

    Contre toute attente, il vit quelqu'un se tenir à sa porte d'entrée et il y avait une voiture derrière cette personne.

    Sans réfléchir, Duan Yijun s'habilla au hasard et descendit en courant.

    — Tu... pourquoi es-tu ici ? !

    — Femme. Aujourd'hui c'est notre nuit de noces après tout, bien sûr je dois venir en personne ah.

    Duan Yijun ouvrit largement les yeux.

    Puisqu'il était venu... alors... que diable faisaient-ils à l'instant ? !

    Après toutes ces discussions, il s'était fait avoir !

    Mais que représentait cette faible douceur et ce bonheur dans son cœur !

    — Une nuit de printemps vaut mille ors, ma femme, ne devrions-nous pas nous dépêcher de remonter et de continuer ?


    Notes

    (1) Coutume chinoise selon laquelle les invités plaisantent et font des farces aux jeunes mariés dans leur chambre.

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  • Commentaires

    13
    Vendredi 11 Mars 2022 à 04:36

    Coucou ! Merci beaucoup pour la traduction de ce roman ! OIala que dire ! J'ai commencé à le lire au travail, je suis devenu rouge pivoine hahaha. Une chance que je n'ai pas eu à me justifier ! En tout cas, j'ai adoré, merci beaucoup pour cette superbe découverte ! 

    • Voir les réponses
    12
    Mardi 1er Février 2022 à 18:29
    J'ai vraiment bien aimé cette histoire un vrai plaisir de te lire MERCI BEAUCOUP
    11
    Mercredi 24 Mars 2021 à 19:42

    OH c'est déjà fini, merci beaucoup pour cette histoire c'était très mignon.

    Par contre j'aurai voulu en savoir un peu plus sur la suite et l'évolution de leur relation par la suite mais nous allons rester sur le charme de leur début de relation......

    Merci beaucoup néphély pour la traduction

    • Voir les réponses
    10
    Mardi 2 Février 2021 à 23:55

    Hello ! Je viens juste de découvrir votre site et je commence à peine à me mettre à la lecture des romans BL (même si je les regarde depuis un certain temps maintenant ^^). Pour ce point, je suis assez fan de votre travail ^^

    Et celui ci, j'ai adoré tout simplement <3

    • Voir les réponses
    9
    Jeudi 14 Janvier 2021 à 21:17

    merci Néphély ! juste top. mais toujours trop court quand on aime happy. Belle découverte

    8
    Dimanche 20 Décembre 2020 à 15:32

    Bonjour,

     

    Merci pour cette découverte.

    Je n'avais pas l'habitude de lire mais depuis ma 1ere participation à ce calendrier je me suis lancer à la lecture. Et j'avoue avoir apprécier chaque chapitre. 

     

    Maintenant je me suis mise à lire les autres romans de votre blog c'est vraiment trop bien.

     

    Merci encore. 

    7
    Samedi 19 Décembre 2020 à 22:09
    Alors en regardant le 19 aujourd'hui, j’ai compris que cette histoire-ci était finie. Désolée, je n’avais pas tilté hier, Bizarre. Maintenant la pièce est tombée et snif. C’est dommage. J’ai adoré. C’est trop cours. J’avais trouvé tous chaques jours exprès pour ne rien louper. Et aujourd'hui pareil, j’étais impatiente. Je viens de me transformée en calimero. Du coup me voilà à la page d’hier pour vous remercier de ce chef-d'œuvre. Merci tout plein, c’était génial.
    6
    Vendredi 18 Décembre 2020 à 10:36

    J'ai adoré cette histoire, très hot et finalement très mignonne aussi! Merci pour cette trad!! ;)

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